domingo, 11 de enero de 2015

A la Une : Un dimanche pour dire non à la terreur et oui à la liberté - Un dispositif de sécurité exceptionnel à Paris



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dimanche 11 janvier 2015
Lors de la marche à Nantes
Un dimanche pour dire non à la terreur et oui à la liberté
Plusieurs centaines de milliers de personnes et une cinquantaine de chefs d'Etats sont attendus à Paris pour une manifestation de dimension historique en hommage aux victimes des attentats.
Le plan Vigipirate, décrété mercredi 7 janvier pour l'Ile-de-France, pourrait avoir des conséquences sur la circulation des trains, mais aussi sur le fonctionnement des gares ou les comportements dans les métros, RER, TER et TGV, ainsi que sur les routes.
Un dispositif de sécurité exceptionnel à Paris
Plus de 5 500 policiers et militaires seront mobilisés et des tireurs d'élite seront postés sur les toits bordant le parcours de la marche parisienne.
A Nice, le 10 janvier.
Marcher contre la terreur
Suivez en direct la situation. La « marche républicaine » fera l'objet d'une sécurité sans précédent dans la capitale.
Les participants internationaux à la marche républicaine de dimanche.
Ils participeront à la marche républicaine dimanche à Paris
Des dirigeants politiques du monde entier, des politiciens français et tous les représentants religieux marcheront à Paris, dimanche.
Benyamin Nétanyahou et Mahmoud Abbas le 15 septembre 2010.
Abbas et Nétanyahou défileront tous les deux à Paris
Benyamin Nétanyahou et Mahmoud Abbas participeront à la marche républicaine mais il est peu probable que ce rassemblement de circonstance améliore leurs relations.
Nous sommes Charlie.
Unanimité des hommages à « Charlie » : un « contre-sens » ?
De Luz à Willem, plusieurs membres de la rédaction ont reçu avec un peu d'amertume ces marques de solidarité envers un journal célèbre pour son irrévérence.
En images
Manuel Valls sur le plateau du journal de 20h de TF1, 9 janvier 2015.
Manuel Valls : « Nous faisons face à un défi terroriste sans précédent »
Le premier ministre était l'invité du journal de 20 heures du TF1.
Le témoignage de Laurent Léger, rescapé de l'attentat de « Charlie Hebdo »
Images de l'assaut porte de Vincennes
L'assaut à Dammartin-en-Goële
Chérif Kouachi : « Un voisin discret », « un fidèle lambda »
Et aussi
Membre de la BRI le 8 janvier à Paris.
Les frères Kouachi et Coulibaly, des pionniers du djihadisme français
Les trois terroristes appartiennent à une génération qui s'est radicalisée en prison et au Yémen auprès de mentors algériens, avant d'essaimer à l'étranger. Itinéraire d'une dérive.
Les visages de deux des personnes recherchées par la préfecture de police : Amedy Coulibaly et sa compagne, Hayat Boummeddienne.
Hayat Boumeddiene, toujours recherchée, serait en Syrie
Selon les informations du « Monde », une femme munie du passeport d'Hayat Boumeddiene, la compagne du preneur d'otages de la porte de Vincennes, a pris un vol Madrid-Istanbul le 2 janvier.
Les premiers otages sont libérés par les forces de l'ordre lors de l'assaut contre Amedy Coulibaly, le 9 janvier à porte de Vincennes.
Trois jours d'enquête et de traque
Le lien entre les attaques qui ont eu lieu à « Charlie Hebdo », à Montrouge et porte de Vincennes s'est précisé peu à peu. Une question demeure : étaient-elles coordonnées ?
 | Le journal daté du 11 janvier
Intellectuels, l'heure du réveil a sonné
Le silence qui a permis l'irruption d'une telle cruauté en France est aussi le fait des intellectuels. A eux maintenant de reprendre leur place dans le débat public pour réimaginer notre société
Lire le journal
Amedy Coulibaly dans le Cantal en 2010.
Amedy Coulibaly, de la délinquance au terrorisme
Portrait d'un jeune de Grigny, qui s'est radicalisé lors d'un séjour à la prison de Fleury-Mérogis.
Nicolas Bedos dans le cadre de l'émission "on n'est pas couché le 11 janvier 2014.
Nicolas Bedos : « Laissez-nous l'ouvrir et risquer notre peau »
L'humoriste redoute l'émergence d'une « censure préventive ».
Minute de silence dans uun lycée de Bayonne.
A Saint-Denis, collégiens et lycéens ne sont pas tous « Charlie »
« Moi, la minute de silence, je ne voulais pas trop la faire (...) car ils ont insulté l'islam », raconte une élève. « Ils auraient pu ne tuer que lui », témoigne un autre, assimilant « Charlie » à un dessinateur.
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